Cimetière paysager du Moulin Laheux
Les photos ci-jointes montrent la salle omniculte et le salon de veille. Alors qu’en 1805, Alexandre-Théodore Brongniard trace les plans du cimetière du Père-Lachaise à Paris, il se sert du relief et de l’irrégularité du terrain pour en faire un jardin aménagé. Aujourd’hui, le cimetière paysager doit être non seulement l’expression de l’individualité mais aussi celle de l’appartenance à l’humanité. Ainsi, dans cette forêt “piranésienne” où la luxuriance de la végétation, les parcours poétiques, les traces et les multiples tombes s’enchevêtrent, un grand silence marque solennellement le coeur du projet. Recouvert d’un “green”, il se cale au côté sud le long d’une paroi béton émergeant du sol. Celle-ci, vouée à la suprématie du végétal accueillera, dans ses multiples interstices et irrégularités, la flore des murets d’enclos, mousses, lichens… (Texte : Agence ROULLEAU Architectes)
http://roulleau.architecture.pagesperso-orange.fr/intro.html/
Construction d’un cimetière paysager
Cimetière paysager du Moulin Laheux
Envoyer un ouvrage
« * » indique les champs nécessaires