Maison de Retraite
Présentée au PDAA 2001 Le parti architectural est né des contraintes liées à la présence de pavillons voisins et de la faible surface du terrain, proche du centre-bourg. La maison de retraite se décompose en trois unités de vie en rez-de-chaussée, l’unité centrale étant réservée aux personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer. L’interpénétration des jardins et patios avec le bâtiment compense l’absence de parc et permet d’offrir des espaces de promenade variés et protégés aux personnes âgées. La maison s’ouvre vers l’intérieur et l’extérieur grâce aux cheminements vitrés et à l’éclairage zénithal des verrières. Le ton général du bâtiment s’accorde à la culture locale, avec sa toiture de zinc, matériau qui se substitue à l’ardoise, la hauteur de ses murs en schiste et le bois. En référence aux traditions constructives locales, les murs du bâtiment sont en schiste et la pente des toits incurvés, variable selon la fonction des espaces recouverts. Les soubassements d’ardoise sont rehaussés d’éléments plein bois en retrait de la base. Dans le contexte pavillonnaire du lieu, la volumétrie, le rythme et la composition générale de cet équipement important est particulièrement juste. (Caue de Maine-et-Loire)
Construction d’une maison de retraite d’une capacité de 41 lits équipée d’un plateau médico-technique
Maison de Retraite
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