Réinventer une barre de logements
Avant :
La résidence Santillane : un immeuble de barre typique des années 1960, installé le long du cours de la libération, agit comme un rempart visuel. Véritable obstacle entre la rue et les autres bâtiments de la résidence, il referme l’espace urbain sur toute sa longueur.
Après :
Dissimuler les parkings par de la végétation, y installer des logements dans plusieurs unités, et jouer sur la déclinaison et l’animation de ses façades. Un moyen de retrouver des traversées et des échappées visuelles entre la rue et le cœur d’ilot de cet ensemble résidentiel.
Sur l’emplacement de l’ancienne résidence, un parking est installé dans toute la longueur, au rez-de-chaussée sur la rue. Il est recouvert d’une butte végétalisée, qui offre un lien visuel et physique depuis le cœur d’ilot jusque sur la rue.
Par-dessus sont posés six volumes, espacés régulièrement, évoquant la typologie de la maison individuelle, par l’emploi du toit à deux pentes.
Chaque volume comporte cinq étages, similaires en plan, mais traités différemment en façade. L’animation provient des légères variations de toitures et des différents matériaux pour l’habillage, qui permettent à chaque habitant d’identifier son logement
Construction de 132 logements à la place d’une résidence des années 1960
Réinventer une barre de logements
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